lundi 1 juin 2015
Nature morte (petite mise en scène)
Composer avec les couleurs
jongler avec le temps qui passe
s'arranger pour qu'enfin
l'image nous sourit
et sur l'échiquier de la vie
ajouter une boîte à musique
d'où sortirait peut-être
quelques notes cristallines
pour que la vie demeure
pour que le clown
continue de nous faire rire
et que la rose encore nous offre
son parfum et sa beauté
cadeau de monique
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Sais-tu Yannis que cette composition bien que son nom l’indique et qu’elle le soit, n’a pour moi rien d’une nature morte elle est tout au contraire une représentation bien vivante dans la lumière du soleil, vois le sablier il n’a pas écoulé ses derniers grains de sable…
RépondreSupprimercomposer avec les couleurs,
jongler avec le temps qui passe,
s'arranger pour qu'enfin
l'image nous sourit
et sur l'échiquier de la vie
ajouter une boîte à musique
d’où sortirait peut-être
quelques notes cristallines
pour que la vie demeure,
pour que le clown
continue de nous faire rire
et que la rose encore, nous offre
Son parfum et sa beauté.
Et pour aller jusqu’à « immortaliser » alors il resterait encore à prendre le pinceau pour que ce rayon de soleil perdure ce bleu si beau si intense au centre de ce tableau ... Belle et douce soirée
monique, c'est un très grand plaisir de découvrir ton poème ce matin si bien observé, qui est pour moi un véritable cadeau dans le sens de "l'Ouvert" (un mail va suivre).
SupprimerLes mots sont des fondations sur lesquels on peut s'appuyer.
Très belle journée :-)))
J'ai entrebâillé les volets
RépondreSupprimerne laissant qu'un rayon de soleil
dessiner sur le mur un faisceau de lumière
plongeant dans la pénombre
les couleurs et l'éclat de ces corps inertes
redonnant à chacun lune part d'ombre et de mystère.
Une fraîcheur, un bien être en attendant l'aurore.
Bonjour cher Yanis. J'aime ces mise-en-scène que l'on
RépondreSupprimerappelle nature morte ( un terme bien étrange à mon avis).
Tu as très bien choisi les éléments et l'éclairage. Sais-tu
que je suis folle de ce bleu ? je l'ai toujours appelé " bleu
de Chine", et je crois que c'est réellement son nom.
Comment as-tu pu découvrir un objet du quotidien ( une
bouilloire ou théière ? ) avec un tel bleu ? c'est une
teinte que l'on ne trouve pas dans la nature. Mais
surtout dans les objets d'art asiatique . Un bleu qui
donne envie de toucher l'objet . Et tu l'as formidablement
éclairé. Normal, tu as à la fois, le regard du photographe
et du peintre.. Tous les éléments sont à leur place et
j'apprécie beaucoup, l'interprétation poétique de Monique.
Belle semaine Yanis, sans trop de chaleur ni orage.
ELZA